Au sol, à hauteur des spectateurs, son visage était difforme ; sur le piédestal, les traits apparurent harmonieux59. 26Manque, à ce catalogue de sources, la principale : la dédicace de la colonne. Une petite chapelle accolée à la colonne et démolie en 1500, quel… la colonne coclide Il a été inauguré en 113, avec une spirale longue frise qui est enroulée, à partir du bas vers le haut, sur la tige entière de la colonne et décrit le guerres de Dacia (101-106), Peut-être basé sur les perdus commentaires Trajan et peut-être aussi par l'expérience directe. Overbeck-Kent-Stylow 1973, p. 111 et numéro 262 planche 69, fait de même. D’autres bâtiments ont été construits tels que : 1. Ce dispositif architectural à mi-hauteur supposait un exercice de regard orienté, du bas vers le haut (par la direction des spires), mais aussi de haut en bas : dans les deux cas, l’exercice de recomposition mentale était identique. Quelques audacieux du xixe siècle ont constaté la présence de fantômes de couleurs sur certaines parties hautes de la frise, protégées par le chapiteau108. Vitruve, VI, 4, 5, fait référence aux simulacra nés des reflets dans l’eau. Nous sommes loin des quelques spires supplémentaires envisagées par les détracteurs de la vision à mi-hauteur. Le plan de Rome ci-dessous est intemporel. On devine le massif de briques montant vers le nord-ouest, le palier, puis l’esquisse de la seconde rampe vers le sud-est121. Paris Ier Colonne Vendôme détail frise C'est une colonne en bronze de 44,3 mètres de haut et d'environ 3,60 mètres de diamètre moyen, posée sur un socle et surmontée par une statue de Napoléon Ier. 40Sans la coïncidence forme-couleur, l’œil est victime d’illusions89. XLIb, spires 17 et 18. 96 Vitruve, VI, 4 (traduction française d’après E.H. 196 Les six premières spires, correspondant en gros à la première campagne et au début de la guerre ; le niveau intermédiaire à mi-hauteur du fût, correspondant au début de la seconde guerre mais montrant surtout l’aspect civil du pouvoir de Trajan et son impact sur la romanisation en cours des Daces. Dans le cas bien étudié du mausolée des Flavii32, l’édifice associe à égalité architecture, iconographie et inscription honorifique pour glorifier le dédicataire. M. Casevitz). Il conduit à l’île qui porte aujourd’hui le nom d’Ostrova. 188 Settis 1991, p. 196-198. En décomposant le discours en deux thématiques complémentaires, le concepteur de la frise a réussi le tour de force de concilier urbanisme et optique : il a tenu compte de l’axe majeur du forum, qui court de l’entrée (SE) aux propylées (ou au temple du Divin Trajan : NO), mais aussi de l’environnement architectural direct des reliefs. 33 Marin 1988 pour une contribution sur la lisibilité et la visibilité de la colonne. XLIXb et La, Trajan, en tunique, se trouve parmi des togati, et la spire 15 montre les ambassadeurs barbares reçus par l’empereur en tunique ; mais la spire 14 voit Décébale ( ?) 141 Packer 1988, p. 316-317, et notes 128 et 130-136, et ci- dessus ; contra, la recension de Viscogliosi 1999, p. 605, qui refuse la reconstitution en toiture du portique périmétral de la cour. Eu-trope donne une altitude de 144 pieds : « Ses cendres, placées dans une urne d’or, furent installées dans le Forum qu’il construisit, sous une colonne ayant cent quarante-quatre pieds de haut »43. Nous ne pouvons plus guère, au moins dans nos musées, regarder ces dalles historiées, pour la plupart rapprochées en pleine lumière, qu’à la manière dont elles apparurent jadis aux seuls yeux des exécutants : dans l’atelier, pendant le travail, et jusqu’au moment où elles furent utilisées2. Ce silence assourdissant – la colonne Trajane n’a pas bénéficié des attentions littéraires de Pausanias, qui décrit pourtant le toit de la Basilica Ulpia11– amène à douter de la visibilité des reliefs, et même de l’intérêt que les Anciens pouvaient porter à ce type de réalisation. Malgré la difficulté réelle à percevoir la totalité des reliefs, la colonne Trajane était entourée de dispositifs visant à assurer une vision des reliefs qui, au moins en deux points, étaient proches de l’observateur : les spires du bas, tant que l’angle de vision n’est pas trop oblique ; le niveau privilégié des terrasses, dont la disparition fausse profondément l’appréciation contemporaine de la visibilité. 61Le cône visuel de référence est constitué par les segments A et B, rayons « émis » par un observateur placé au pied de la colonne (pour des commodités d’échelle, cet observateur idéal a une taille standard de 1,73 m). 1Il y a quelques décennies, Charles Picard résumait, à propos de la frise des Panathénées, le paradoxe que rencontre également le spectateur de la colonne Trajane : Les bas-reliefs qui composent cette décoration furent exécutés avec minutie : encore que placés haut, tellement qu’aucun œil moderne ne pourrait facilement les détailler aujourd’hui d’en bas, à l’Ouest où ils demeurent ! Create Page. 114En définitive, nous penchons pour une lecture presque totale de la frise, avec vision préférentielle des deux nœuds narratifs (et des deux faces cardinales) ; la narrativité du monument paraît préservée par les dispositifs prévus à cet effet (dont la couleur), lesquels s’associent pour tisser une trame complexe dont émerge la silhouette de Trajan, certes essentiellement militaire, mais aussi diffuseur de civilisation. 48La colonne Trajane est sculptée dans le marbre blanc de Carrare. Or, il est indéniable que leur conjonction rend les reliefs difficiles à distinguer. Dès lors, un citoyen romain, familier de l’opposition civis-miles, percevait sans effort le changement d’espace et d’activité entre ces thèmes et les scènes militaires, largement majoritaires sur la frise. Il est concevable que ce seuil narratif (l’essentiel des opérations étant passé, la présence de Trajan n’est plus nécessaire) a correspondu au seuil optique voulu par les concepteurs du projet : les spires 22 et 23 ne comportant plus la silhouette impériale, il n’était pas important qu’elles sortent du dispositif optique prévu. Dans ce domaine, la colonne Trajane n’innove pas. 39 Voir Stucchi 1989, p. 250-251 ; et Pensa 1969-1970, p. 281-284. Également : Panvini Rosati 1958 ; Pensa 19691970, p. 281-291 ; et Claridge 1993, p. 15-17. ... Frise Chronologique Préhistoire Géographie Cycle 3 Enseignement De L'histoire Évolution Humaine Homme Préhistorique. L’abondance de la lumière joue bien sûr un rôle primordial, que renforce la mise en couleur des lettres creusées dans la pierre (les vestiges de ce dernier dispositif sont nombreux) ou la dorure pour les lettres de bronze. Valette-Cagnac 1997, p. 41-42, insiste elle-aussi sur l’importance des théories optiques dans le domaine de la lecture à Rome. Pour le toit des portiques, consulter I luoghi del consenso imperiale 1995b, p. 16, et ci-dessous. 24Par le qualificatif coclide, la frise en spirale est adjointe à la hauteur de la colonne, ces deux caractéristiques la distinguant d’une colonne classique. Inaugurée en 113 après J.-C., la colonne Trajane, seul élément intact du somptueux Forum de Trajan, est, depuis le XIXe siècle, au centre de débats quant à la lisibilité de ses deux cents mètres de bas-reliefs relatant les guerres daciques. 36 Weitzmann 1957 ; Weitzmann 1970, p. 129 ; Weitzmann 1977 ; et Becatti 1982, p. 546. Histoire De La Vie Culture Générale Poupées Lol. 112Si l’on découpe la frise non plus en campagnes spirales mais en faces verticales, on constate le même découpage. Conférence de John Scheid - Représentations sacrificielles d'après la colonne Trajane - Duration: 1:15:41. En effet, et quelle que soit la reconstitution des terrasses adoptée, il apparaît plus que probable qu’un second niveau d’observation était prévu, qui plaçait (pour au moins une face, c’est certain) le promeneur romain à moins de dix mètres des reliefs150, avec en sus l’avantage d’un regard perpendiculaire sur quelques spires du fût. J.-M. Croisille). 49Pline utilise le terme firmior ; or, la firmitas, nécessaire aux réalisations architecturales, est une qualité primordiale de l’architecture, reconnue par exemple au pont d’Apollodore100. IIIb. 66 Sur le rendu de la perspective, Panofsky 1975, p. 5461 et 68-93. On peut remarquer que ce marbre « lumineux » est justement celui des carrières de Luni mises en service dans la seconde moitié du ier siècle après J.-C. et où furent extraits les tambours de la colonne Trajane. Ainsi, à l’exception de Pausanias, nulle source ne mentionne le dispositif prévu pour apprécier les détails d’une œuvre pourtant considérée comme majeure par les Anciens. La spire 11159connaît une augmentation significative de hauteur : or, elle correspond thématiquement à la scène 75 (Décébale est visible sur la face NE : nous ne disposons pas, pour celle-ci, de renseignements quant à la hauteur de la spire). The use of + or symbol instead of the letter X is the only characteristic that differentiates Christian from pagan inscriptions. Je suis débiteur de ces indications à Georges Devallet. Il s’agit là, non d’une attitude logique, déductible des caractéristiques de l’œuvre étudiée, mais d’un comportement culturel complexe, qui obéit à des motivations autres que le critère de l’immédiate lisibilité. Une des dernières contributions soulève toutefois un point crucial : Paul Veyne, dans deux articles récents3, a mis sérieusement en doute la lisibilité des reliefs de la frise. Voir également ci-dessous, notes 41 à 47. Meneghini 2001b, p. 248, évalue la hauteur du portique nord (le pronaos) à 22 m. 129 En l’attente des publications exhaustives en cours après la restauration du monument, nous nous contentons des documents à notre disposition, dont Martines 2000 pour les plus récentes précisions. 28De ce tour d’horizon des sources, se dégage un constat : la hauteur de la colonne et la spire hélicoïdale, considérées aujourd’hui comme les obstacles principaux à la visibilité, sont précisément les caractéristiques qui distinguent ces monuments des colonnes honorifiques traditionnelles. 65De ces calculs, il apparaît que sur les faces SE et NO, l’observateur se trouve à 7,38 m de distance (à angle droit), et à 9,46 m sur les faces NE et SO (nous supposons pour l’instant quatre terrasses autour de la colonne). Une idée du résultat possible pour la frise est donnée par une reproduction de la colonne Trajane en métal précieux, due à Louis Valadier. 15Les stèles des ludi saeculares, hautes de trois mètres, étaient certes ornées de lettres minuscules ; le texte gravé n’en était pas moins reconnaissable. On peut en déduire, soit que les éventuels problèmes de visibilité n’ont pas été traduits par une élévation de hauteur de ces spires ; soit, et nous optons pour cette hypothèse, que le concepteur les sachant visibles car face au spectateur, elles n’ont bénéficié d’aucun aménagement particulier. Il est impossible de reconstituer le « juste équilibre » entre les deux possibilités. Et Gérad Simon de commenter, en décrivant une réalité devenue pour nous littéralement inconcevable, puisqu’on a affaire à une projection à la fois matérielle et psychique – constituée d’éléments, eau et feu, analogue à ceux de la matière inerte, tout en étant vectrice de sensibilité. 88 Pline l’Ancien, H.N. Warning). Les chercheurs contemporains ont ainsi défini quelques critères considérés comme aptes à attirer les regards et faciliter la lecture24. Colonne Trajane Peuple Celte Empereur Romain. Rappelons cependant que le podium de la colonne aurélienne était bien plus haut que celui de la colonne Trajane, ce qui modère l’impact des compensations optiques évoquées ci-dessus – sauf à admettre, ici aussi, l’existence de terrasses à mi-hauteur... 146 Martines 2000, p. 30, évoque la possibilité que ces pontes ont servi pour le chantier, les sculpteurs de la frise ou les réparateurs des dégats du tremblement de terre de 191-192. 105 Ibid., XXXVI, 14 (trad. 130 Pour chaque spire, nous retenons la moyenne des deux valeurs données par Rockwell 1985, p. 106. N’oublions pas qu’à l’origine, les reliefs de la frise étaient peints. La première série (fig. Le fût de la colonne est constitué d'une frise impressionnante, qui se déroule sur deux cents mètres, relatant la campagne militaire. Description statique de la Colonne Trajane Postes romains en haute Moésie, préparation de la campagne contre les Daces. 95 Selon Veyne 1991, p. 323, la vision à mi-hauteur ne permettrait de voir qu’ » une ou deux » spires supplémentaires. Il n’est pas le premier à avancer l’hypothèse : Becatti 1982, p. 546547, a fait le point bibliographique sur la question. Ce qui permet d’évaluer grossièrement l’inclinaison originale de la sculpture. Fig. 38). 149 Voir notre Introduction sur l’entasis de la colonne. 110 Simon 1988, p. 116, décrypte certaines conventions visuelles : « [...] des objets brillants qui se détachent sur un fond sombre, comme le Soleil ou la Lune, paraissent plus proches qu’ils ne sont, alors que l’inverse se produit pour des objets sombres sur un fond clair : les peintres ont bien su utiliser ces effets de contraste dans leurs perspectives ». 62 Schuhl 1933, p. 30. Dans l’esprit du spectateur romain qui détaillait, en l’été 113 après J.-C., la scène inaugurale de passage du Danube, la victoire finale romaine et la création de la province de Dacie préexistaient. La présence des deux bibliothèques, de la Basilica Ulpia et des propylées sur le quatrième côté de la cour (ou du temple), a amené divers auteurs à reconstituer une terrasse continue, permettant la fameuse vision à mi-hauteur de la frise94. Et Gérard Simon de gloser : La vue a pour sensibles propres la lumière et la couleur. 177 Pline l’Ancien, H.N. La Colonne Trajane (second edition includes plates, 1872-1874, reprinted by Nabu Press in 2010). A. Ernout). [...] Les formes des personnages ont dû être traitées, en principe, sans trop d’égard à l’impression du spectateur, ni même, peut-être, à l’emplacement destiné à l’œuvre terminée. Dans sa réponse, Settis 1991 déduisait du seuil visuel atteint par les artistes de la Renaissance que les six premières spires étaient visibles depuis le sol (nous le suivons sur ce point, son évaluation étant la seule à être motivée par un argument vérifiable). 113-cü ildə Trayanın daklar üzərindəki qələbənin şərəfinə ucaldılıb. 90 Gros 1990a, p. 123 note 13.2 : Vitruve « évoque les deux théories de la vision en présence à l’époque hellénistique (VI, 2, 3) en se gardant de choisir entre elles ». 68Nous avons reporté ce cône visuel de référence (segments A et B) au niveau des terrasses (figure 34, segments A* et B*), en conservant l’angle de base. 77 Le verbe perficere, de construction comparable, suppose qu’une action est en cours et qu’une fois accomplie dans sa totalité, elle sera « parfaite ». Froehner, W. 1865. Fig. Rompant avec leurs reconstitutions, il couvre le portique devant les bibliothèques d’un toit en pente, ce qui interdit toute vision à mi-hauteur, exceptée sur les faces SE (de la Basilica) et NO (du temple du Divin Trajan)123. Il s’agit de l’une des deux faces cardinales (fig. J.-C, ordonné par Trajan, soit après l'inauguration du forum, qui a eu lieu en janvier 112. There is no clear evidence to suggest the presence of Christianity in Cyprus during the first three centuries AD. Paris Ier Colonne Vendôme détail frise C'est une colonne en bronze de 44,3 mètres de haut et d'environ 3,60 mètres de diamètre moyen, posée sur un socle et surmontée par une statue de Napoléon Ier. 1778–82 ... des Frises, des Chapiteaux, &c. & sera mise au jour par cahiers de différentes grandeurs & à divers prix. Paris. Autrement dit : était-il possible de lire les deux cents mètres de frise dans leur totalité ? La Colonne Trajane fut toujours l'un des monuments les plus célébrés de Rome. Packer 1992a, p. 70-71, Packer 1992b, p. 154-156 et p. 158-159, et enfin Lucrezia Ungaro et Marina Milella font de même (I luoghi del consenso imperiale 1995b, p. 16), mais voir en dernier lieu Ungaro 1995a p. 107, et Meneghini 2001a, p. 56, ou 2001b, p. 256. Panvini Rosati 1955, y reconnaît le temple du Divin Nerva (voir encore Brown 1940). 17 Corbier 1987, p. 27-30, résume la bibliographie et les problématiques de l’écriture à Rome. Les Grecs privilégient ainsi la skiagraphia, notion optique utilisée tant par les artistes que par les architectes61et que l’on retrouve dans la scaenographia de Vitruve62. Report de la distance de vision depuis le sol au niveau des terrasses (d’après les dimensions données par Farinella 1981). Le marbre et plus encore le bronze, utilisés par Auguste pour les Res Gestae et pour le clipeus virtutis et ses reproductions, peuvent être mis en relation avec l’importance de l’inscription portée, ne serait-ce que par la pérennité du matériau. L’époque de Trajan ne se prêtait pas à une entreprise idéologique d’une telle envergure. ». 1 Il y a quelques décennies, Charles Picard résumait, à propos de la frise des Panathénées, le paradoxe que rencontre également le spectateur de la colonne Trajane :. 6 Pausanias, Attique XXIV, 5 : « La statue de culte, elle, est d’or et d’ivoire ; au milieu du casque qui la surmonte se trouve une représentation du Sphinx [...]. Intégralité des reliefs du monument. Elle lui permet de comprendre ainsi la fin de la dédicace : « [...] pour montrer de quelle hauteur furent déblayés, après de si grands travaux, la roche (ou la colline) et le terrain »58. 78Avançons enfin un dernier élément en faveur d’une vision prévue depuis un point élevé. 12 Coarelli 1992a, p. 644-645 ; Coarelli 1999, p. 14. 176 Pline l’Ancien, H.N. 88Il n’en reste pas moins que, si un observateur percevait les lignes thématiques verticales sur vingt spires, demeuraient hors de portée les spires 20 (ou 21) à 23 : la distance depuis les terrasses est en effet considérable (fig. Non contentes d’être disposées sur l’axe central du Forum de Trajan (SE-NO), elles jouissaient de conditions de visibilité exceptionnelles, puisque les terrasses n’en étaient séparées que de six mètres ; les faces intermédiaires (NE et SO), éloignées d’environ neuf mètres des terrasses des bibliothèques, servaient de relais au discours. 32Le point de vue préférentiel reste bien sûr la vision axiale. 82Ces réflexions aboutissent à la conclusion suivante : il existe un nœud visuel et structurel, un croisement des dispositifs architectoniques et iconographiques, à mi-hauteur de la frise, c’est-à-dire au niveau des terrasses. Les auteurs antiques, contemporains ou postérieurs à son érection, ne mentionnent que brièvement la colonne, sans citer la frise historiée10. Aucun volumen illustré en continu n’a existé à Rome et dans l’Antiquité avant le ive siècle après J.-C.35.